En ce jour Anniversaire du kidnapping du président Gbagbo par les forces Françaises après plusieurs jours de siège de la Résidence présidentielle, l'ex ambassadeur de France SEM Jean Marc Simon véritable acteur de premier niveau de la crise post électorale en Côte d'Ivoire était au micro du confrère Boisbouvier. En écoutant l'entretien on se rend bien compte que des deux forces qui étaient officiellement engagées dans la bataille, les FDS étaient bien en position de Force dans le secteur de Cocody, selon donc l'ex diplomate les fameux FRCI ne parvenaient guère à passer le rideau de feu des FDS dans Cocody en général et dans le périmètre présidentielle en particulier et cela malgré le soutien aérien massif des deux autres forces engagées officieusement dans la bataille (Licorne et Onuci) du côté des FRCI. Il à donc fallu une autre serie de bombardement plus violente que les premières dès Dimanche 10 Avril de 16h au petit matin (plus d'une vingtaine de frappes aériennes) pour permettre aux forces pro Ouattara d'avancer. Mais cette armée mexicaine dans sa tentative d'avancement du faire face au feu nouri de l'expérimenté garde présidentielle, au final cette énième tentative fu comme les premières un échec et les FRCI ont donc du battre en retraitre, pour laisser l'armée Française faire une opération terrestre officiellement. En définitive le Président Gbagbo n'avait pas tord quand il affirmait que les forces françaises avaient fait le travail de sa capture pour ensuite le remettre aux forces de son rival politique OuattaraJean Marcs Simon : Le 11 Avril les hommes du Général Dogbo stationnés au Plateau auraient pu tirer sur notre convoi mais ...                                                                                                                                                        

PLII source RFI